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In your face ♪ Leavy J. Ackerman |
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Wednesday J. Ackerman
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| Sujet: In your face ♪ Leavy J. Ackerman Lun 15 Juin - 18:10 |
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C'était une très bonne école la Gates School. Vraiment. Équipement de pointe, concours et aides aux projets des étudiants, petit luxe - qui a fait subir une augmentation monstre sur les peintures de ma mère - ambiance très conviviale et toujours tout dans un univers très technologique. Que ce soit la cafetière qui parle ou la poubelle que l'on appelle et qui vient comme un petit chien, bref, c'était tout simplement le paradis sur Terre ! En fait, la seule tâche qui paraissait dans le décors, c'était cette venue de personnes plus ou moins riches - d'accord... Tous riches... - Ðes genres de fils à papa aimant l'alcool et les fêtes puis toutes ces filles délurées qui faisait régner la décadence de façon très rapide partout où elles allaient. L'année dernière encore je n'avais pas vraiment peur que celles-ci ne se mettent à lorgner sur William, mon petit copain, mais plus le temps passe et plus je sens que je vais devoir faire très attention si je ne veux pas le perdre. Je dois avouer que ce n'est pas de petites écervelées qu'il tomberait amoureux, sinon se serait qu'il me cache beaucoup de choses sur lui mais je le pense tout à fait capable de se laisser aller à la tentation sans pour autant s'occuper des pensées des filles d'un soir, mais bien qu'il me demanderait mille pardons, je l'aurais tout de même plus qu'en travers de la gorge, croyez-moi...
Mais ce n'était pas le sujet du jour. Non, à cette heure, c'était le sport qui était de mise. Oui, je sais très bien que Wedy et sport sont impossibles à placer dans une même phrase affirmative, cependant c'était vrai, je faisais du sport. Enfin le verbe faire n'était pas le meilleur à utiliser cela dit, je n'en ai pas trouvé de réellement adapté à la situation... Ðisons que la fainéantise était quelque chose de vrai chez moi, surtout d'après la professeur d'éducation physique, mes camarades voyaient cela comme le simple fait que je n'en avais pas l'envie et ma sœur bah... Je ne sais pas vraiment quel mot elle mettrait sur ça non plus alors ! En fait, je me considérais plus comme une allergique au sport. Je n'avais pas de réels symptômes, tout ce que je sais c'est qu'à chaque fois que je veux faire preuve de courage et d'enthousiasme dans le sport et bien il m'arrive une tuile ! Bon, cela restait une métaphore bien que cela pourrait peut-être arriver un jour qui sait ? Ouais, vous avez raison, se serait vraiment marrant XD /SBAF/ Mais surtout : ne riez pas devant la personne parce qu'elle risque de sérieusement vous haïr après ça !^^
En cette belle après-midi où il faisait bien chaud, toute la classe était présente et j'étais, comme à mon habitude, sur le banc des dispensés avec un jeune homme qui avait une entorse à son poignet et qui donc ne pouvait pas vraiment jouer au badminton. Le badminton... Si je trouvais l'inventeur de ce sport stupide, je lui brûlerais toute sa RAM qu'il cesse d'inventer de telles idioties !! Bien qu'à mon avis il ne soit plus de ce monde... Bah, j'pourrais toujours le faire dans un rêve... Bref, la prof n'avait pas vraiment l'air d'accepter cette idée que je ne fasse pas sport alors que je n'avais pas de dispense. Comme dit plus haut, elle pensait que je jouer de la paresse. Ce qui peut être vrai en un sens... Mais bon, j'avais gagné cinq minutes de vie... Elle me mit avec une fille, l'une de ces poufs qui vous regarde bizarrement lorsque vous lui dites que même les Kobolds roxent plus qu'elles avec tout le superflu qu'elle ont de la tête aux pieds. Elle ne m'aimait pas trop, moi non plus d'ailleurs. J'aurais préféré être de l'autre côté, avec Leavy, mais non, la prof m'avait mise là point. No comments guys and play ! J'aurais remplacé play par die parce que le sport c'est vraiment la mort. Je n'étais pas contre le fait de courir comme ça, une petit cinq cents mètres ne me faisait pas si peur que ça tant que ce n'était qu'un tour et que je pouvais m'arrêter pour récupérer de mes points de côté mais alors ces jeux ! C'était un cataclysme...
Puis comme vous devez vous en douter, quelque chose se passe, évidement, sinon ce n'est pas marrant ! Et bien ne vous en faites pas, ça arrive : la jeune fille de mon équipe prit toute sa force tout en sautant afin de donner un maximum d'élan au volant. Je n'ai rien contre, mais alors vraiment pas, bien au contraire, mais il aurait peut-être fallut lui laisser porter les binocles de Wearthly, le premier de la classe, histoire qu'elle ne confonde pas le volant avec ma tête...
- Oups ! Je suis vraiment dé-so-lée Wedy, ça va ? Dit-elle, faussement crédible avec son immense sourire qui ornait son visage aussi faux que sa nouvelle paire de seins que lui a offert sa mère après avoir couché avec le chirurgien.
Mon nez était en sang ainsi que mes lèvres, mais ne parlons même pas de la raquette qui avait été comme fossilisée sur mon visage ! C'est dans ces moments où quelqu'un vous retient de faire un mort... Là, c'était Leavy, mais il ne manquait pas d'étudiants autour de moi. À chaque offensive d'un Geek ou d'un Beauty, tous les membres se tournaient vers le membre du leur pour lancer des regards noirs et des insultes en troupeaux.
- Ça va très bien, merci, mais ça ira mieux lorsque j't'aurais fait bouffer le mur sale garce ! Ai-je répliqué méchamment. Mais la prof me cria dessus en ordonnant à Leavy de m'accompagner à l'infirmerie... |
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Leavy J. Ackerman
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| Sujet: Re: In your face ♪ Leavy J. Ackerman Lun 15 Juin - 18:57 |
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Comment espérez vous réussir à faire se mouvoir un geek ? A le deskotcher de sa chaise ? A lui obliger a quitter l'instance qu'il faisait sur wow ou il allait enfin pouvoir se stuffer full T4 ? A empêcher Leav' de faire des lignes et des lignes de code sur Dreamwaver ? Il n'y a qu'un seul moyen, 5 lettres : sport. Le sport est censé être un moyen d'évasion, de décontraction, de repos mental ? Personnellement, moi ça avait tendance à me faire stresser : comment allais-je pouvoir faire passer le temps avant de retourner le cul visser à ma chaise pour compléter mon site ? L'angoisse.Avec Wedy, on avat l'habitude de rester sur le banc à mater les niaises beauty courant après la baballe ou alors les soi disant «athlètes» avec des minis-abdos en guise d'alléchante tablette de chocolat. Pour ma part, je n'étais pas spécialement le genre de fille a fantasmer sur les mecs « très bien foutus » et d'ailleurs, je ne comprenais pas les mecs capable de s'attarder sur les gonzesses silliconées. Mais bon, le sport nous présentait un joyeux défilé de potiche se dandinant pour aller chercher un volant de Badmington.
Bref, je ne pouvais pas non plus uniquement critiquer l'école, car j'étais heureuse de l'avoir intégrée. Imaginez votre plus grand rêve réduit à la grosseur d'une lettre de confirmation. Je me souviens, nous étions avec ma soeur, chacune notre lettre, à stresser comme des grosses débiles pour savoir si nous avions été retenues pour intégrer l'école. Je crois que ce fut la plus grosse dose de stresse de ma vie ( bon y'a eu aussi la fois ou un orage à complètement fait griller la baraque et ou mes 10pages de code pour mon site se sont vues griller lorsque mon ordi s'est coupé net. Okay c'est ma passion, mais quand même, devoir se retaper des milliers de ligne de code, css, html et cie, même quand on aime ça, ça devient vitre blasant ) Bref, revenons à nos moutons. Donc nous étions avec ma soeur en train de lire nos lettres (il faut aussi ajouter que nous étions toutes les deux en pyjamas assortis et que c'était relativement très comique, mais je m'égare... ) quand soudain un cri strident me perça les timpans : Wedy venait de lire qu'elle était prise. Quelques secondes plus tard, c'est mon cri qui avait réveillé mes parents lorsque je remarquai que moi aussi j'étais prise. Enfin bref, aujourd'hui nous sommes la, et particulièrement en sport...
Stop l'égarement, nous sommes bel et bien dans le gymnase. J'aperçois Wedy qui est assez loin, elle est sur le banc des dispensés comme à son habitude et moi j eme retrouve dans les gradins après avoir pu échapper au regard machiavélique du professeur. Et la, de ma place surélevée, je peux observer un magnifique spectacle qui m'a relativement fait rire sur le moment. Une pimbèche saute sur le volant, enfin sur ce qu'elle pensait être le volant, cette ridicule jeune fille le confondit avec la tête à Wedy.... Certes sur le coup j'ai pouffé de rire. Mais je dois avouer que je me suis vite rendant compte de la situation lorsque des tâches rouges apparurent sur le visage de ma soeur jumelle. Je courut, non pas pour vouloir la soigner, mais pour l'empêcher de vouloir désintégrer la Beauty comme un mage lvl 70 le ferait sur Wow. Je me suis donc contenté de les séparer. Wedy ouvrit la bouche pour exploser verbalement celle qui ne savait pas jouer au badmington.
WEDY_« Ça va très bien, merci, mais ça ira mieux lorsque j't'aurais fait bouffer le mur sale garce ! »
Je voulais répliquer un truc genre : « La prochaine fois, essaie de confondre le volant avec ta tête » ou encore « Quand on sait pas jouer, on se visse le cul sur les gradins et on fantasme comme des nunuches sur les bodybuldés » mais bon, la prof nous fit remarquer qu'elle n'appréciait pas du tout ce genre de remarque. Bref, la prof m'ordonne d'emmener ma soeur à l'infirmerie. Il me semble bien que c'était la première fois que nous y allions. Je lui passai un mouchoire pour qu'elle puisse « pomper » le sang qui dégoulinait.
LEAVY_« Tu vois, à force de rester sur le banc des dispensés, on se retrouve défiguré, tu ferais bien de bouger un peu tes fesses et aller sur le terrain ! »
Lui dis ja d'un ton taquin. Elle savait très bien que ce n'était pas méchant, mais on n'aimait bien s'envoyer des pics. Même si nous étions très complice, on aimait bien se chercher. Et puis bon, chacune avait djà fait pas mal de crasse à l'autre. Comme celle d'attirer un peu trop l'attention de celui qui devrait être mon copain mais bon... Je ne lui en veut pas, il faut dire que je ne l'ai jaamis mise au courant de « mon secret » . |
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Wednesday J. Ackerman
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| Sujet: Re: In your face ♪ Leavy J. Ackerman Lun 15 Juin - 20:30 |
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Il est vrai que correcte serait d'appeler suicidaire celui qui voudrait tenter de déranger un no-life en pleine instance. Ðans ces instants religieux, aucune personne normalement constituée ne peut approcher le geek parce que nous sommes tellement concentrés qu'il faut utiliser un dialecte no-life pour nous faire décrocher deux neurones pour vous écouter... Cela est d'autant plus pratique que pour échapper aux tâches ménagères. En effet, la poubelle est pleine, on nous demande de la sortir et nous répondons expressément que nous sommes en réseaux et que c'est important. Ðu coup, ce sont les autres qui s'en chargent. Quoi que cela marchait pour que ce soit mon père mais pas pour Leavy et tant mieux, je ne voulais pas que toutes mes astuces soient pour la nuire, non, jamais je ne voudrais quelque chose qui ne va pas dans son sens. Pour échapper à être appelée pour cette poubelle, elle avait toujours de la musique dans son casque donc elle n'entendait pas. Ce qui faisait que ma mère faisait les yeux doux à mon père pour qu'il la vide. Il faut dire que c'était d'elle que nous tenions notre fainéantise alors imaginez, elle fera tout pour que la gentillesse de mon père devienne encore plus utile. XD Quelle famille, oui, et c'est peu de le dire croyez-moi !^^
Mais bon, nous n'échappons pas toujours aux dérangements... À la Gates School, nous sommes bien obligées de faire preuve d'un minimum de vie en cours de sport sinon les remarques péjoratives fuseraient et seraient gravées sur nos têtes pour finalement, nous faire rater nos études. Juste pour du sport... mais il fallait tout de même noter que nous étions toujours plus ou moins là et que l'on participait activement en arbitrant les matchs, ce qui est un vrai travail ! Non, je rigole, ce n'est que pour me chercher des excuses que je dis ça.^^ En tout cas, c'est bien amusant de saquer au plus possible les Beauty, pour certains pas matheux pour un sous ! Et ces commentaires que nous faisions sur les filles qui pensaient que le sport était un défilé de mode où encore les mecs qui se prenaient pour des mannequins super craquants, je peux vous dire que ce n'était jamais trop triste ces deux heures par semaine passées assises sur un banc ! Et puis bien que j'étais plutôt fidèle aux formes de William, nous ne nous gênions pas de regarder ce que les boby-buildés nous sortaient. C'était plus souvent pitoyable, moi non plus je n'aimais pas les musclors, mais bon, c'était toujours hilarant lorsqu'ils faisaient les mâles dominants. XD
En tout cas, aujourd'hui ce n'était pas vraiment une partie de rigolade... Bien au contraire. Ðéjà je n'avais pas envie, je détestais le badminton, il faisait chaud, il ne me manquait que trois mille xp pour up ma chasseresse soixante et onze donc mauvais moment pour m'embêter. La professeur ne s'en était pas gêné le moins du monde que de m'embêter à me faire jouer, mais le pire de tout fut cette grognasse blonde teintée qui louchait plus que n'importe lequel binoclard de geek que nous étions ! Mais que veux-tu cuicui, c'est la vie et bien que l'on y était matériellement, ce n'était pas le paradis... Ðonc vivent les écervelés et voilà que je me retrouvais pleine de sang sur les mains. Bon, vous allez dire que c'est normal, psychopathe celui qui ne serait pas du même avis mais ce n'était pas vraiment ce que je préférais que de saigner comme ça. Enfin... Leavy arriva rapidement à la rescousse et me donna un mouchoir pour que je puisse cacher un peu la misère. Je me doutais bien qu'elle avait du rire en voyant le spectacle, surtout de là où elle était. La grognasse avait offert aux gradins un match dont ils ne seraient pas prêts d'oublier de si tôt ! Les Beauty, on les entendaient rire et féliciter cette pouf, ce qui me faisait quelque peu monter en rage mais nous étions bien trop espacés pour que je ne puisse leur montrer qu'une geek louche moins que leur espèce inutile pour l'avancée humaine. Enfin si, ils étaient utiles dans le sens qu'en les voyants, l'humanité se rendaient compte de ce qu'elle ne devait pas devenir.
- Tu vois, à force de rester sur le banc des dispensés, on se retrouve défiguré, tu ferais bien de bouger un peu tes fesses et aller sur le terrain ! Lâcha Leavy en me charriant.
- Sache que je te retourne le compliment, lui répondis-je en souriant.
Il est vrai que nous passions beaucoup de temps à se chercher mutuellement, mais ce n'était là qu'un plus qui faisait la force de notre complicité. Enfin, ma sœur et moi partions donc en direction de l'infirmerie. À espérer que l'on y trouve quelqu'un parce que les soins et moi ça faisait deux ! Je ne savais pas du si à cette heure l'infirmière serait là parce que je dois avouer que je ne vais que très rarement à l'infirmerie, ce qui peut paraître aberrant vu le nombre de fois où je tombe ou autre, mais justement, ce qui ne tue pas rend plus fort alors imaginez bien qu'avec le temps j'ai de la résistance !^^ Bref, je n'avais pour ainsi dire jamais mit les pieds dans cette infirmerie donc voilà. Lorsque nous arrivions, les couloirs étaient vides. En même temps, durant les heures de cours, c'est compréhensible... Mais la pièce appelée infirmerie était vide... Ou tout du moins elle le paraissait...
- À moins que tu désires jouer à la ba-balle, je te propose qu'on s'assoit et qu'on attende, lui ai-je alors proposé en souriant. Cependant, je n'exécutai pas tout de suite cette idée, non, j'étais plus en position d'aller me rincer le visage au lavabo qui se trouvait dans un coin de la salle, à droite lorsque l'on entrait. |
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| Sujet: Re: In your face ♪ Leavy J. Ackerman |
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